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      <b>halleauxgrains2.jpg</b> <br /> Jezebel Rock Toulouse 1981; photo X
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dans un futur virtuel

Posté par david griffin le 27 janvier 2022

dans un futur virtuel

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inédits et introuvables …

Posté par david griffin le 27 janvier 2022

 

reprise par Gil Dougherty et Caroline Augier de notre titre enregistré pour la compilation « Romance 85″ et produit par Jean William Thoury ; « Ne joue pas » est une adaptation de « Let her dance » du « Bobby Fuller Four » ; Nous avons depuis enregistré une nouvelle version (en anglais) de « Let her dance » avec la complicité du groupe Decazevillois « Les Ennuis Commencent », ( à paraître un de ces jours …)

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Buddy’s Project ; album 2010

Posté par david griffin le 2 janvier 2014

buddysprojectrecto.jpg

EXTRAITS :

OH BOY !

NOT FADE AWAY

TELL ME HOW

PEGGY SUE GOT MARRIED

 

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revue de presse / mars avril 2011

Posté par david griffin le 26 mars 2013

paru dans Rock & Folk ( numéro d’avril 2011 )

rockfolk.jpg

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paru dans B.C.R. Blues Country Rock n° 24 / avril 2011

 par Serge Sciboz :

JEZEBEL ROCK BUDDY’S PROJECT 

HB PRODUCTION 

 

On les croyait perdus à jamais pour le rockabilly ou le rock and roll, tombés au champ d’honneur d’un revival français qui n’aurait pas survécu au manque de culture hexagonale en matière de rock et à l’incompréhension voire au mépris des grands médias. Et bien mes amis, réjouissez-vous car le légendaire groupe Jezebel Rock est de retour, 25 ans après un très long silence, avec un album concept hommage à Buddy Holly intitulé sobrement  ’Buddy’s Project’. Formé en 1976 à Toulouse avec les frères Moncet, Jean-Jacques au chant et à la guitare et Gérard à la batterie, sans oublier Denis Rebeillard à la basse, Jezebel Rock comptait parmi les meilleures formations pionnières du rockabilly revival du tout début des 80’s, avec notamment l’impressionnante écurie ‘Big Beat Records’ de Jacky Chalard, avec entre autres les Alligators et Victor Leed, sans oublier les Rockin’ Rebels sur un autre label. Jezebel Rock avait sorti deux somptueux 33 tours 25 cm  ‘Routes Of Rock‘ en 1980 et  ‘Rockabilly Stress‘ en 1982 avec comme quatrième acolyte un certain Marc Police, guitariste d’exception qui se situe entre Dick Dale et Link Wray et qui rejoindra plus tard les Wampas, avant de disparaitre tragiquement à quelques heures du Noël 1991. Déjà à cette époque, Jezebel Rock se détachait des autres groupes en raison de leur rockabilly sophistiqué, de leur goût certain pour les belles mélodies et pour leurs arrangements de grande qualité, faisant penser incontestablement à l‘œuvre de Buddy Holly. Le rockeur texan étant l‘antithèse de Gene Vincent ou d‘un Jerry Lee Lewis, de part son look d’étudiant en préparation à math sup qui rassurait les parents, horrifiés par le cuir trop noir et la patte folle de Gene et par les paroles subjectives du killer. Pour ce grand retour, il ne reste que deux membres originaux des débuts héroïques avec Jean-Jacques Moncet et Denis Rebeillard. Pascal Bost est à la batterie et pour cet album, le groupe s’est enrichi de Didier Marty au saxophone et de Burt Blanca à la guitare. Sans occulter le piano et l’orgue d’Eric « Misty » Gréard. Et je dois avouer que dés la première écoute avec That‘ll Be The Day‘, je suis tombé sur le cul, scotché sur mon sofa en renversant mon verre de single malt BenRiach Sherry Wood. Quel panard ! S’enchainent ensuite  Rave On’, ’Maybe Baby’ du même acabit. Incroyable ! Je rêve ! Jezebel Rock a ressuscité Buddy Holly et Jean-Jacques Moncet s’est imprégné du personnage. Sa photo sur la pochette prise dans l’ombre fait penser au retour du spectre de Buddy. Impressionnant ! Surréaliste ! Le grand frisson ! Physiquement et vocalement c’est du mimétisme. Jean-Jacques est devenu Buddy Holly. C’est un dédoublement de personnalité. C’est à s’y méprendre. Avec cet album, on tombe sur un cas évident de schizophrénie aiguë. Mais attention, que les choses soient bien claires. Car même si les excellents musicos sonnent Crickets, que Jean-Jacques distille les sonorités de Buddy et de Nicky Sullivan et que Denis fait ronronner sa basse comme Larry Welborn, il ne s’agit pas d’un énième hommage à Buddy sans aucun intérêt, ce n’est pas un vulgaire fac-similé que Jezebel Rock nous propose, ce n’est pas du copier-coller ennuyeux. Non, non, car même si l’œuvre de Buddy est ici religieusement respectée, Jezebel Rock apporte tout son immense talent, toute son empreinte personnelle avec des arrangements innovants (avec saxophone et piano) et des harmonies vocales  originales qui boostent les classiques tels que  ‘Nor Fade Away’, ‘Peggy Sue’ ou encore ‘Words Of Love’  (bravo à George Seba et à son ensemble vocal gospel)C’est une performance hors du commun que vient de réaliser Jezebel Rock avec ce ‘Buddy’s Project’. je n’aurai qu’un mot : MERCI ! En effet, reprendre l’œuvre considérable de Buddy Holly n’est pas une sinécure et s’avère un exercice assez casse-gueule. En France, seul Dick Rivers quant à présent s’en était tiré avec les honneurs avec son album ’Holly Days In Austin’ de 1991. Docteur je ne suis pas fou, Buddy Holly n’est pas mort dans ce maudit avion un soir de février 1959 dans l’Iowa. J’affirme sain de corps et d’esprit qu’il est revenu au pays des vivants en empruntant l’identité et l’enveloppe charnelle d’un certain Jean-Jacques Moncet ! Vous ne me croyez pas ! Alors écoutez le dernier opus de Jezebel Rock et vous verrez… Mais pourquoi me parlez-vous de neuroleptiques ? 

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un inédit de 1986

Posté par david griffin le 2 janvier 2011

 

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Long time curse , démo inédite de Gene Everett / Jezebel Rock  

enregistrée en 1986 ;

voir à la page   » le EP Melinda «                                                                          

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un message d’Helvétie !

Posté par david griffin le 7 septembre 2010

logorollcall.jpg

 Salut à vous de Jezebel Rock,

Ce qui frappe très favorablement à première écoute, c’est cette extraordinaire intensité émotionnelle (qui s’explique vraisemblablement par une profonde vénération à l’égard de l’oeuvre originale) qui confère à votre hommage à Buddy Holly un réel caractère d’originalité et qui conséquemment le hisse bien au-dessus d’un simple ouvrage de plus figurant des reprises de l’intéressé.
Qui plus est, la production affiche sur chacun des thèmes retenus (ah ! ce pont que j’adore dans « Slippin and Slidin » !) une préoccupation du moindre détail sans qu’à aucun endroit elle ne bascule dans le piège d’une sophistication qui eut été en l’espèce bien malvenue et déplacée, tandis que les interventions judicieuses et dynamisantes du sax et les riffs endiablés d’un Burt Blanca (enfin retrouvé, mais avait-il donc disparu ?), marquent un désir bien senti de se démarquer des originaux tout en demeurant nanti du respect le plus profond, le plus sincère de rester proche de tant de classiques qui ont écrit l’une des plus belles pages de l’histoire du rock’n roll.
Trève de bavardages, aurai-je le bonheur de m’en venir vous écouter si votre parcours allait vous conduire du côté d’Agen et vous redire les yeux dans les yeux bien d’autres choses encore que m’inspire votre magnifique « project » ?
Avec une certaine obstination pour laquelle je l’espère vous ne m’en voudrez pas, le persiste et je signe
Gérard Montani (q’une trentaine d’années de « Rock critic » dans mon Helvétie de patrie n’ont pas totalement éteint en moi cette petite flamme, cette étincelle fugace et ce bonheur de l’enchantement soudain. merci les potes !

 

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